Le plus bel endroit du monde est ici. Le titre est prometteur, le livre est court. J'étais en pleins dans mes grosses lectures et une amie m'avait dit de lire ce roman. Je me suis lancée.
C'est peu commun de commencer un roman avec un personnage qui souhaite mourir. Et pourtant celui ci commence comme ça et nous entraîne dans une histoire, douce, tendre, qui pousse à la réflexion, presque moralisatrice. A la fin de ma lecture, j'avais envie de profiter de la vie, d'en découvrir les moindres recoins. Pourquoi ? Parce que ce petit roman de moins de 200 pages sait nous remettre les pendules à l'heure.
A la lecture de la quatrième de couverture j'ai eu peur de tomber sur un roman niais, presque le téléfilm de noël. Je vous avoue que s'en est pas trop loin, mais pourtant, il y a quelque chose en plus. Un je ne sais quoi qui fait que l'on se retrouve pris dans l'histoire tara-biscornue et un peu énorme, d'Iris.
En effet, ce roman est loin d'être dans le rationnel, un café magique, un amour de jeunesse qui réapparaîtgrâce à un chien vu dans une annonce de journal (mince je vous en dis trop). J'ai adoré l'idée d'un café à nom à rallonge (un peu comme Les Gens heureux lisent et boivent du café), c'est vrai que c'est tout de suite accrocheur. Je ne peux pas m'étaler pendant des heures à l'explication du sentiments constant qui s'empare de vous à la lecture de ce roman. Je pourrais le classer parmi ceux d'Agnès Martin Lugand ou Agnès Ledig. De la douceur, de la tendresse, un soupçon de moralité et une belle histoire.
En soit, ce roman vous fait du bien. Bonne lecture ! ♡
Iris a trente-six ans et des idées noires plein la tête. Ses deux parents viennent de mourir dans un tragique accident et, en une seconde, toute sa vie a basculé. Par un après-midi froid et gris, elle songe même à en finir. Son regard se pose alors sur la devanture d'un café auquel elle n'avait jamais prêté attention auparavant. Son nom étrange, Le plus bel endroit du monde est ici, éveille sa curiosité. A l'intérieur, il ne reste qu'une table libre, l'homme derrière le comptoir l'invite à s'y asseoir. Sans trop savoir pourquoi, Iris se laisse guider et fait bientôt une rencontre touchante, inoubliable, magique... Il s'appelle Luca, il est italien et, pendant six jours d'affilée, ils vont se retrouver dans cet endroit hors du temps, loin des soucis du quotidien. Petit à petit, Iris retrouve le sourire. Mais l'après-midi du septième jour, Luca ne réapparaît pas. Iris comprend qu'il ne reviendra plus mais, surtout, qu'il lui a ouvert une porte dont elle ne soupçonnait pas l'existence : celle du bonheur.
C'est peu commun de commencer un roman avec un personnage qui souhaite mourir. Et pourtant celui ci commence comme ça et nous entraîne dans une histoire, douce, tendre, qui pousse à la réflexion, presque moralisatrice. A la fin de ma lecture, j'avais envie de profiter de la vie, d'en découvrir les moindres recoins. Pourquoi ? Parce que ce petit roman de moins de 200 pages sait nous remettre les pendules à l'heure.
A la lecture de la quatrième de couverture j'ai eu peur de tomber sur un roman niais, presque le téléfilm de noël. Je vous avoue que s'en est pas trop loin, mais pourtant, il y a quelque chose en plus. Un je ne sais quoi qui fait que l'on se retrouve pris dans l'histoire tara-biscornue et un peu énorme, d'Iris.
En effet, ce roman est loin d'être dans le rationnel, un café magique, un amour de jeunesse qui réapparaît
En soit, ce roman vous fait du bien. Bonne lecture ! ♡
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